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  • J’ai fabriqué une machine à miner de la crypto avec un rack à chaussures costo


    Quand un rack à chaussures devient une machine à imprimer de l’argent

    Il y a cinq ans, alors que la cryptomonnaie commençait à prendre son envol, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure. Mais au lieu de simplement acheter des cryptos comme tout le monde, j’ai décidé de construire ma propre machine de minage avec un rack à chaussures acheté chez Costo. Oui, vous avez bien lu !

    L’idée derrière la cryptomonnaie, en gros, c’est que l’ordinateur résout des algorithmes en continu. Si vous êtes rapide et chanceux, vous êtes payé en cryptomonnaie en retour. Beaucoup de gens connaissent le Bitcoin, mais il existe d’autres cryptomonnaies parfois plus faciles (ou plus difficiles) à miner.

    Ma machine de minage maison : simple et puissante

    J’ai assemblé une machine avec 8 cartes graphiques, un gros bloc d’alimentation, 8 Go de RAM, un disque dur et Linux pour faire tourner le tout. Le principe est simple : après avoir configuré un portefeuille virtuel, je choisis une cryptomonnaie à miner, et le serveur s’occupe de résoudre les calculs. Chaque fois que des calculs sont réussis, des petites sommes sont directement versées dans mon portefeuille numérique.

    Les défis du minage : bruit, chaleur et consommation

    Laissez-moi vous dire que miner n’est pas sans défis. Voici quelques leçons que j’ai apprises :

    1. Le bruit : les ventilateurs des cartes graphiques font un vacarme fou. Si vous avez un sous-sol bien isolé, tant mieux !
    2. La chaleur : miner, c’est comme brancher un calorifère de 1500 watts. Quand plusieurs machines tournent, ça chauffe !
    3. L’été vs l’hiver : en été, faire tourner la clim et la machine en même temps n’est pas super rentable. Mais en hiver, c’est comme de la chaleur gratuite !

    Conclusion : une expérience enrichissante malgré un bloc d’alimentation fondu

    Finalement, après avoir miné pendant un certain temps, j’ai fini par vendre mon serveur à quelqu’un d’autre. Mon bloc d’alimentation avait fondu parce qu’il n’était pas assez puissant, mais au moins j’ai appris quelque chose de nouveau et fait quelques dollars au passage.

    Un merci spécial à mes amis qui m’ont aidé avec mes mille questions sur le sujet.

  • Nous avons inventé la poutine aux chips? Oui, pis c’est une entrée qui va faire jaser !

    T’sais, quand tu reçois de la famille pis des amis à souper, t’as toujours envie de les impressionner un peu. Chez nous, on aime bien tester des nouvelles affaires, surtout avec des classiques comme la poutine. Mais l’autre jour, en plein milieu d’un rush de préparation, je me suis dit : « Y’a ben trop de frites à faire! » Pis là, l’idée m’est venue : pourquoi pas des chips à la place? Ouais, des chips! Laisse-moi te raconter comment cette idée est devenue une entrée qui pogne à chaque fois.


    On aime recevoir du monde, ma femme pis moi. On a déjà fait des poutines en entrée, mais t’sais, faire des frites pour une gang, c’est long. Pis c’est jamais aussi bon que dans un resto. Alors, un soir, en fouillant dans l’armoire, j’ai spotté un sac de chips Miss Vickie. C’est là que l’idée a poppé : une poutine… mais avec des chips! Simple, rapide pis croustillant.

    Les étapes pour créer ta poutine aux chips :

    1. Les chips : Tu veux des chips solides qui vont pas ramollir tout de suite avec la sauce. Miss Vickie ou Cape Cod, c’est parfait pour ça. Leur texture épaisse fait toute la différence. Dépose une poignée de chips dans des petites assiettes en aluminium, ça rend l’expérience encore plus conviviale.
    2. Le fromage en grain : C’est pas une poutine sans le bon fromage qui fait squick squick sous la dent. Mets-en une bonne couche sur tes chips. Perso, je les mets avant de faire chauffer pour qu’ils soient juste un peu fondants mais encore élastiques.
    3. Cuisson des chips : On utilise notre BBQ au granule en mode four, pis ça ajoute une petite touche de fumée qui donne un goût unique. Si t’as pas de BBQ comme ça, le four fait très bien l’affaire aussi. Fais chauffer juste assez pour que le fromage commence à fondre et que les chips restent bien croustillantes.
    4. La sauce : Là, c’est ma femme qui s’occupe de la sauce, pis elle a vraiment réussi à la perfectionner. C’est une sauce brune classique avec une petite touche épicée. Ajoute quelques épices selon ton goût pour relever l’affaire. Pendant que les chips chauffent, fais cuire le canard doucement pour qu’il soit prêt à être ajouté à la fin.
    5. L’ajout du canard : Oui, du canard! Ça donne un côté un peu plus fancy à ta poutine. Une fois que les chips sont bien chaudes, que le fromage est parfait, tu ajoutes le canard effiloché sur le dessus, pis tu verses la sauce chaude par-dessus.

    Pourquoi cette entrée est un hit?
    Là, j’te le dis, quand on a servi ça pour la première fois à nos invités, personne s’attendait à ça. Tout le monde pensait qu’on allait sortir une poutine classique, mais avec les chips, la sauce épicée et le canard, ça a fait fureur. C’est facile à préparer, pis ça impressionne tout le monde. C’est l’équilibre parfait entre croustillant, fondant et un petit goût fumé si tu l’as fait sur le BBQ.

    La poutine aux chips, c’est une idée simple de ma femme et moi, mais qui fait vraiment toute la différence quand tu veux offrir quelque chose de nouveau à tes invités. Que ce soit pour impressionner ta gang ou juste pour te simplifier la vie, cette recette est parfaite. Essaie-la la prochaine fois que tu reçois du monde, tu vas voir que tout le monde en redemande!

    Alors, prêt à surprendre tes invités avec ta propre version de la poutine aux chips?

  • J’ai tenté de cultiver des légumes avec des poissons, et voici ce qui s’est passé

    T’as déjà entendu parler d’hydroponie? Ouais, c’est cool de faire pousser des plantes dans de l’eau avec des nutriments ajoutés. Mais ce que tu ne sais peut-être pas, c’est que certains se lancent dans l’aquaponie, où les poissons font tout le travail sale (littéralement!). C’est là que j’ai décidé de tester l’idée… avec des poissons rouges. Spoiler : c’était plus compliqué que prévu!

    Un jour, je me suis dit que je voulais pousser le concept de culture à un autre niveau. J’avais entendu parler de l’aquaponie, où tu utilises les déjections des poissons pour nourrir les plantes. Oui, c’est ça : les poissons vivent dans l’eau et, au lieu d’ajouter des produits chimiques, leurs déchets fournissent les nutriments nécessaires à la croissance des légumes. Plutôt écolo comme approche, non?

    J’ai donc commencé à petite échelle, un peu par manque de place, et un peu parce qu’au Québec, l’hiver c’est pas la meilleure période pour élever des truites dehors dans des barils. Imagine un instant devoir chauffer toute cette eau ET une serre! Bref, pas idéal pour quelqu’un qui veut garder les choses simples.

    Mon choix s’est donc porté sur des poissons rouges. Pourquoi pas, après tout, ils sont robustes et ne demandent pas trop de soins. J’ai acheté trois bacs chez Ikea, une petite pompe à eau, et hop, c’était parti. L’idée? Installer l’aquarium sur l’étagère du bas et les bacs de culture au-dessus, avec les billes d’argile en guise de substrat pour les plantes. Les billes permettent aux racines de se développer sans terre, tout en absorbant l’eau vitaminée (merci les poissons!).

    Je me suis armé de patience : les poissons ont pris deux semaines à « contaminer » l’eau comme il faut avant que je ne commence à semer. Des graines de salade, des fèves jaunes, et voilà! Quelques jours plus tard, les premières pousses faisaient leur apparition. Victoire! Mais… c’est là que les ennuis ont commencé. Les plantes, elles, ne restaient en vie que quelques jours avant de dépérir.

    Je me disais sûrement qu’il manquait quelque chose. Peut-être pas assez de poissons? Peut-être que je n’avais pas bien calculé le ratio? Après des recherches, il s’est avéré que mon aquarium était tout simplement trop petit pour produire assez de nutriments pour mes plantes. J’avais trop d’ambition pour l’espace que j’avais disponible. À chaque fois que je relançais l’expérience, même résultat : un plant de fève qui pousse en longueur, sans vraiment grossir. Difficile de rester motivé dans ces conditions!

    Et puis, on va se le dire, je n’ai pas le pouce vert. Pour certains, l’aquaponie est un jeu d’enfant, mais moi, j’étais juste content d’avoir réussi à voir quelques pousses. Quand on n’a pas toute la place ni l’équipement de pro, ça devient vite un casse-tête. Imagine devoir jongler avec des poissons, des tuyaux, de l’électricité et des plantes qui ne veulent pas coopérer. Pas étonnant que j’aie fini par abandonner (temporairement!). Mais bon, je me console en me disant que je suis loin d’être le seul à avoir eu du mal avec ce genre de projet.

    L’aquaponie, c’est super sur le papier, mais dans la vraie vie, c’est un peu plus technique que ça. Faut penser à la quantité d’eau, la taille des poissons, la place que ça prend, et surtout, à comment équilibrer tout ce petit écosystème. Ça devient vite compliqué, surtout quand tu ne peux pas loger de gros poissons comme des truites. L’idée est géniale pour ceux qui ont l’espace et les ressources, mais pour moi, c’était un peu trop ambitieux à gérer avec un petit aquarium Ikea. J’ai laissé tomber… pour l’instant.

    Mais hey, si t’es du genre à aimer les défis et que tu rêves de produire tes propres légumes bio en utilisant des poissons, l’aquaponie peut être un projet super excitant. T’auras juste à faire plus de place que moi (et peut-être éviter les poissons rouges!). En plus, imagine, à terme, tu pourrais ne plus dépendre des supermarchés pour tes salades ou fèves jaunes. Et ça, c’est pas mal cool.

    Au final, j’ai mis mon projet d’aquaponie sur pause, mais ça ne veut pas dire que j’ai abandonné pour de bon. J’attends juste d’avoir plus de temps et d’espace pour le retenter à plus grande échelle. Si tu te lances dans cette aventure, sache que ce n’est pas une promenade de santé, mais avec les bonnes ressources, ça peut vraiment marcher. Et qui sait, un jour, tu pourrais vivre entouré de légumes et de poissons, avec un écosystème qui s’auto-entretient. Alors, t’attends quoi pour faire des recherches et tenter ta chance?

  • Comment choisir le meilleur dispositif d’alerte médicale au Québec : maison ou extérieur?

    T’as déjà pensé à ce qui pourrait arriver si un de tes proches fait une chute et n’a pas son téléphone à portée de main? Si tu crois que ce genre de situations n’arrive qu’aux autres, détrompe-toi! Chaque année, des milliers de Québécois se retrouvent dans cette situation, et la rapidité de l’assistance fait toute la différence. Imagine un dispositif qui appelle automatiquement de l’aide, même si tu es inconscient à l’extérieur de la maison. Eh bien, ça existe! Mais comment choisir celui qui te convient?

    Au Québec, t’as plusieurs options de dispositifs d’alerte médicale, et ça peut devenir compliqué de choisir celui qui s’adapte le mieux à ton mode de vie. Que ce soit pour une utilisation à la maison ou lors de sorties, voici un guide pour t’aider à y voir plus clair.

    Les options pour la maison uniquement

    Si tu passes la majorité de ton temps à la maison et que tu veux une tranquillité d’esprit, les systèmes d’alerte à domicile sont pour toi. Ces dispositifs ne nécessitent pas de GPS, car ils sont conçus pour un usage sédentaire.

    • LifeLine (Système de base)
      Coût : 35 $ à 45 $/mois
      Ce dispositif est parfait si tu cherches une surveillance 24/7 chez toi. Mais il faut se rappeler qu’il ne fonctionne pas à l’extérieur ni ne détecte automatiquement les chutes.
    • Direct Alert (Système de base)
      Coût : 35 $ à 40 $/mois
      Direct Alert est aussi une bonne option pour ceux qui passent la plupart de leur temps à la maison. Ce dispositif est similaire à LifeLine, mais sans GPS ou détection des chutes​.
    • Bedford Medical Alert (Home Freedom)
      Coût : 40 $ à 50 $/mois
      Conçu pour rester à la maison, ce dispositif te permet d’avoir une surveillance constante avec un bouton d’urgence facile d’accès, mais pas de suivi GPS.

    Les options pour l’extérieur et la maison

    T’es plutôt du genre à bouger souvent ou à vouloir te sentir en sécurité partout? Opte pour un dispositif qui inclut un GPS et une détection des chutes. Ces systèmes sont plus complets et peuvent sauver des vies même à l’extérieur.

    • Telus LivingWell Companion Mobile
      Coût : 60 $ à 70 $/mois
      Ce dispositif fonctionne autant à la maison qu’à l’extérieur. Il est équipé d’un GPS et d’un détecteur de chutes. Telus te couvre même si tu es inconscient après une chute, et il utilise le réseau cellulaire pour assurer que l’aide arrive rapidement​.TELUS
    • Life Assure (Premium Plan)
      Coût : 49,95 $/mois
      En plus du suivi GPS, ce plan inclut la détection des chutes, idéal pour ceux qui aiment sortir tout en gardant une sécurité optimale. C’est une solution abordable qui te suit partout​.Seniors Bulletin Canada
    • Caretrak
      Coût : 50 $ à 60 $/mois
      Ce dispositif est parfait pour les globe-trotters. Avec une couverture à travers le Canada et les États-Unis, il inclut un GPS et une détection des chutes, que tu sois à la maison ou en vadrouille​.Seniors Bulletin Canada
    • Galaxy Medical Alert Systems
      Coût : 40 $ à 60 $/mois
      Si tu veux un dispositif fiable pour l’intérieur et l’extérieur, Galaxy est une bonne option. Il est léger, portable, et conçu pour te garder en sécurité, où que tu sois​.Seniors Bulletin Canada
    • WeeCare
      Coût : 35 $ à 55 $/mois
      Ce système inclut la surveillance 24/7, un GPS et la détection des chutes. C’est une bonne option pour ceux qui veulent un dispositif abordable et fiable à l’extérieur​.Medical Alert Systems Canada

    On a tous déjà rêvé de s’évader en plein air, mais sans vouloir se soucier de ce qui pourrait arriver en cas de pépin. Imagine-toi en route pour une belle randonnée, et avec un simple bouton, t’as la sécurité de savoir que même si tu tombes, l’aide viendra. Ces dispositifs, c’est comme avoir un ange gardien électronique qui te suit partout!

    Ce qui rend ces dispositifs si uniques, c’est leur capacité à t’accompagner partout. Avant, un simple bouton d’alerte suffisait à la maison, mais avec l’âge ou les risques, tu ne veux pas de compromis. La vraie innovation, c’est d’avoir un système qui se déclenche automatiquement, même si tu es inconscient. Et c’est ça la grande différence que ces dispositifs t’offrent.


    Peu importe si tu passes la plupart de ton temps à la maison ou si tu es constamment en déplacement, il existe un dispositif d’alerte adapté à tes besoins. La sécurité, ça ne devrait jamais être une option secondaire. Choisis celui qui te donne la liberté de bouger tout en sachant que quelqu’un veille sur toi, où que tu sois. Alors, qu’attends-tu pour te sentir en sécurité partout?

    En bout de ligne, ces dispositifs ne sont pas juste des gadgets, mais un vrai filet de sécurité. Il ne te reste plus qu’à choisir celui qui correspond à ton mode de vie et à profiter pleinement de chaque instant, sans inquiétude!