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  • J’ai fabriqué un cadre photo en 2003 !

    Ne faites pas comme moi : l’histoire de mon cadre photo digital fait maison

    Vous savez, la curiosité mène parfois à des projets surprenants. C’était en juillet 2003, j’avais eu l’idée farfelue de fabriquer un cadre photo digital à partir d’un vieux portable, armé d’un bon programme DOS sur une disquette 1.44 Mo. À l’époque, les cadres photos numériques n’étaient pas monnaie courante, voire inexistants. Mais ma curiosité, combinée à un brin d’ingéniosité, m’a poussé à tenter l’expérience.

    L’idée derrière le projet

    Pour stocker mes différentes photos, j’avais opté pour un disque dur que je pouvais facilement retirer pour y ajouter de nouvelles images. Rien de bien révolutionnaire aujourd’hui, mais en 2003, c’était un concept plutôt novateur. Je l’ai ensuite apporté au bureau à Montréal, où mes collègues étaient impressionnés par cette innovation artisanale. Imaginez, un cadre photo numérique à une époque où cela ne se voyait nulle part !

    L’assemblage… plutôt rudimentaire

    Je ne vais pas vous mentir, le cadre n’était pas très raffiné. J’avais acheté un cadre chez Dollarama et, à l’aide d’une Dremel, j’avais découpé à la va-vite pour y insérer les composants. J’avais même soudé le câble d’alimentation pour qu’il ne prenne pas trop de place derrière le mur. Pour les commandes, j’avais ajouté deux petits interrupteurs, reliés aux flèches gauche et droite du clavier, qui permettaient de passer d’une photo à l’autre. Grâce au microprocesseur du clavier, j’avais réussi à identifier les touches correspondantes et à les connecter aux interrupteurs.

    Bon, j’avoue, par paresse, j’avais laissé tout le plastique du portable intact. Mais cela me permettait de garder le ventilateur en place, donc c’était une solution pratique.

    Un projet qui a bien fonctionné… mais qui a pris fin

    Le plus étonnant dans tout ça, c’est que le cadre fonctionnait vraiment bien ! Les photos défilaient une à une, et avec les boutons, on pouvait avancer ou reculer. Je ne me souviens plus du nom du programme DOS que j’utilisais, mais il faisait bien le travail.

    Ce projet a même suscité l’intérêt de plusieurs collègues, qui voulaient tous que je leur en fabrique un. Finalement, j’ai donné le mien. Aujourd’hui, avec les cadres numériques connectés aux applications mobiles et au Wi-Fi, ce genre de bricolage n’a plus vraiment d’utilité.

    Conclusion : la curiosité comme moteur de créativité

    J’espère que cette petite anecdote vous aura fait sourire. Elle me rappelle qu’avec un peu de curiosité et de débrouillardise, on peut créer des objets uniques à partir de matériel recyclé. Alors, même si mon cadre photo digital maison appartient au passé, je garde un bon souvenir de ce projet et du sourire qu’il a pu apporter à mes collègues.

    Soyez curieux, et qui sait ce que vous pourriez créer !

  • Comment faire un custum Light Show pour sa Tesla

    Créer et exécuter un spectacle de lumière personnalisé sur votre véhicule

    Si vous avez un véhicule pris en charge, vous pouvez facilement créer et exécuter un spectacle de lumière personnalisé en utilisant une clé USB. Cette fonctionnalité permet non seulement d’afficher un spectacle lumineux unique, mais aussi de le partager avec d’autres passionnés. Voici comment faire pour que votre véhicule devienne une scène lumineuse à part entière.

    Créez et partagez vos spectacles

    La création d’un spectacle personnalisé pour votre véhicule est simple. Une fois conçu, il peut être diffusé via une clé USB sur n’importe quel véhicule compatible. Les séquences de lumières sont stockées dans un fichier .fseq, et vous pouvez choisir d’ajouter une musique en .mp3 ou .wav pour accompagner votre show.

    Exemple de spectacle : « Squid Game Crypto Remix »

    Téléchargez ma version personnalisée, incluant les fichiers sources, via vrenelecrique.com. Compatible avec les véhicules pris en charge dotés de la version du logiciel v11.0 (2021.44.25) ou plus récente, comme les Model S (2021+), Model 3, Model X (2021+) et Model Y.

    Configuration de votre clé USB

    Pour exécuter le spectacle de lumière, votre clé USB doit être configurée comme suit :

    1. Nom du dossier : La clé doit contenir un dossier de base appelé LightShow (sans guillemets).
    2. Fichiers nécessaires :
      • lightshow.fseq : le fichier de séquence du spectacle.
      • lightshow.mp3 ou lightshow.wav : le fichier audio associé au show.
    3. Formatage : Assurez-vous que votre clé est formatée en exFATFAT32 (pour Windows), ou MS-DOS FAT (pour Mac).

    Exécuter le spectacle sur votre véhicule

    Une fois votre clé USB prête, suivez ces étapes pour lancer le spectacle :

    1. Insérer la clé USB : Connectez la clé à l’un des ports USB ou USB-C à l’avant du véhicule, ou dans le port USB de la boîte à gants.
    2. Sélectionner le Light Show : Dans le menu Toybox, sélectionnez Light Show.
    3. Lancer le spectacle : Appuyez sur Start The Show. Si les fichiers de la clé répondent aux exigences, le spectacle personnalisé se déclenchera à la place de celui par défaut.

    Explorez les créations des autres

    Si vous cherchez encore plus d’inspiration ou souhaitez explorer d’autres créations, rendez-vous sur le site Tesla Light Show, où de nombreux spectacles sont partagés par la communauté.

    Conclusion

    Avec ces quelques étapes simples, vous pouvez transformer votre véhicule en une véritable scène lumineuse, personnalisée à votre goût. Que ce soit pour impressionner vos amis ou ajouter une touche unique à votre voiture, la création d’un show lumineux est à portée de main. Alors, à vos clés USB et laissez libre cours à votre créativité !

  • Nettoyez vos disques vinyles pour une qualité audio optimale

     Les disques vinyles font un retour en force dans l’industrie musicale. Non seulement ils deviennent plus populaires, mais ils sont également utilisés pour préserver la qualité audio. Cependant, comme tout support, les disques vinyles peuvent s’user et se salir avec le temps, ce qui entraîne une mauvaise qualité sonore. Pour vous assurer que vos disques vinyles donnent le meilleur d’eux-mêmes, vous devez les nettoyer régulièrement avec Spin-Clean.

    Qu’est-ce que Spin-Clean ?
    Spin-Clean est un système de nettoyage tout-en-un conçu spécialement pour les disques vinyles. Il utilise une combinaison de liquide de nettoyage et de deux rouleaux en microfibres pour nettoyer en douceur les deux faces du disque en même temps. Contrairement à d’autres méthodes de nettoyage, Spin-Clean ne nécessite pas d’outils ou de techniques spéciales ; il suffit de verser une partie de la solution de nettoyage incluse sur le disque, puis d’utiliser les rouleaux pour la répartir uniformément. Les rouleaux éliminent la saleté et la crasse sans endommager les sillons fragiles de vos disques vinyles.

    Avantages de l’utilisation de Spin-Clean

    L’utilisation de Spin-Clean présente plusieurs avantages par rapport aux autres méthodes de nettoyage de disques. Tout d’abord, il est facile à utiliser : il suffit de verser une solution de nettoyage sur le disque et de commencer à tourner ! De plus, il est moins coûteux que d’acheter un nettoyeur de disques professionnel ou d’apporter vos disques dans un magasin pour les faire nettoyer. Enfin, Spin-Clean fait un excellent travail en éliminant la saleté et les débris de vos disques sans causer de dommages ni laisser de résidus qui pourraient affecter la qualité de lecture.

    À quelle fréquence devez-vous nettoyer vos disques ?
    La fréquence à laquelle vous devez nettoyer vos disques dépend de la fréquence à laquelle vous les utilisez. Si vous les utilisez fréquemment (par exemple, une ou deux fois par semaine), vous devriez les nettoyer au moins une fois tous les deux mois environ. En revanche, si vous n’y jouez qu’occasionnellement (par exemple, une fois tous les quelques mois), vous pouvez les nettoyer moins souvent (une fois tous les six mois suffit généralement dans ce cas). Veillez simplement à toujours utiliser Spin-Clean pour nettoyer vos disques. C’est bien mieux que d’utiliser de l’alcool ou d’autres produits chimiques agressifs !

    Conclusion : Le nettoyage de vos disques vinyles est essentiel si vous voulez garantir une qualité audio optimale et éviter que l’usure ne se produise trop rapidement. Il existe de nombreuses méthodes pour le faire, mais aucune n’est comparable à Spin-Clean en termes de commodité et d’efficacité. Avec son installation facile et son approche douce mais efficace, Spin-Clean est parfait pour tous ceux qui veulent que leur collection de vinyles soit comme neuve !

    Vous pouvez aussi utilisez un bac à ultrasons est un appareil qui utilise des ondes sonores de haute fréquence pour nettoyer les objets. Lorsque vous placez vos disques vinyles dans le bac à ultrasons, les ondes sonores créent des millions de petites bulles qui implosent et nettoient la surface du disque en enlevant la saleté et la poussière.

    Il est important de noter que l’utilisation d’un bac à ultrasons pour nettoyer vos disques vinyles nécessite une certaine précaution. Il est important de ne pas utiliser de solution de nettoyage agressive, car cela pourrait endommager la surface du disque. Il est également important de s’assurer que le bac à ultrasons est réglé à la bonne fréquence et à la bonne puissance pour éviter tout dommage au disque.

    Il est également recommandé de commencer par nettoyer les disques avec une solution douce et de rincer abondamment avant de les mettre dans le bac à ultrasons. Il est également important de sécher soigneusement les disques après le nettoyage pour éviter toute trace d’eau sur le surface.


    En utilisant un bac à ultrasons pour nettoyer vos disques vinyles, vous pouvez enlever la saleté et les particules qui se sont accumulées au fil des ans et améliorer la qualité sonore de vos disques. Cependant, il est important de suivre les précautions mentionnées ci-dessus pour éviter tout dommage à vos disques vinyles précieux.

  • Comment vérifier si mes données se retrouvent sur le « dark web »?

    Vos données ont-elles été compromises en ligne? Voici comment vérifier.

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    La sécurité en ligne est une préoccupation croissante pour beaucoup d’entre nous. La vraie question que vous devriez vous poser n’est pas « si » une fuite de données s’est produite, mais plutôt « est-ce que l’un des sites internet auxquels je suis abonné a fait l’objet d’une fuite de données? »

    Heureusement, il existe un moyen simple et rapide de le savoir. Le site Have I Been Pwned vous permet de vérifier si votre adresse courriel a été compromise lors d’une violation de données. Entrez simplement votre courriel sur la plateforme, et vous saurez presque instantanément si elle figure parmi celles qui ont été exposées.

    Ne sous-estimez pas les grandes entreprises

    Si vous pensez que seules les petites plateformes sont touchées par ces incidents, détrompez-vous. Les violations de données concernent régulièrement les grandes entreprises du web. Parmi les victimes notables de ces dernières années, on retrouve des géants tels que Bell, Facebook, Adobe, LinkedIn, et bien d’autres encore.

    Que faire si votre adresse a été compromise?

    Si votre adresse courriel figure parmi les comptes compromis, vous recevrez une liste des sites concernés ainsi qu’un résumé de la nature de la fuite et des données qui ont été exposées. La première étape à prendre est de changer immédiatement vos mots de passe pour protéger vos informations.

    Mais cela ne s’arrête pas là. La création de mots de passe sécurisés est cruciale pour éviter de nouvelles compromissions. Utiliser un gestionnaire de mots de passe peut également faciliter la gestion et renforcer la sécurité de vos comptes en ligne.

    Soyez informé à l’avance

    Il est également possible de se protéger en étant prévenu dès qu’un site auquel vous êtes abonné est victime d’une attaque. Pour cela, Have I Been Pwned offre un service de notification. En cliquant sur l’onglet « Notify me », vous pouvez inscrire votre adresse courriel pour recevoir une alerte si elle est compromise dans une fuite de données future.

    Conclusion : Ne sous-estimez pas votre sécurité en ligne

    Les cyberattaques et les fuites de données sont devenues un phénomène courant dans notre monde connecté. Prendre des mesures proactives pour sécuriser vos comptes, comme vérifier régulièrement si vos informations ont été compromises et utiliser des mots de passe robustes, est essentiel. Consultez des articles spécialisés pour approfondir vos connaissances en matière de sécurité et protéger au mieux vos données.

    Votre sécurité en ligne est entre vos mains.

  • Votre disque dur contient encore vos Secrets ? Découvrez comment les effacer définitivement !

    Protégez Vos Données : La Nécessité d’un Effacement Sécurisé

    Dans un monde de plus en plus numérique, la sécurité de nos données personnelles et professionnelles est cruciale. Beaucoup d’entre nous ont utilisé des disques durs externes, des clés USB et d’autres dispositifs de stockage pour héberger des informations confidentielles. Cependant, il est impératif de comprendre que le simple fait de supprimer des fichiers ne garantit pas leur effacement complet.

    La Responsabilité de l’Effacement des Données

    Lorsque vous décidez de vous débarrasser de vos dispositifs de stockage, il est de votre responsabilité d’effacer toutes les données qu’ils contiennent. Cela inclut non seulement les fichiers personnels, mais aussi toute information sensible pouvant être exploitée par des tiers malintentionnés.

    L’Illusion de la Suppression

    Il est important de noter que même après avoir vidé la corbeille ou utilisé la fonction de suppression, les données peuvent rester accessibles. Des pirates informatiques expérimentés peuvent utiliser des logiciels spécialisés pour récupérer des fichiers effacés. Ainsi, il est essentiel d’adopter des méthodes d’effacement plus robustes pour s’assurer que vos données sont réellement détruites.

    Solutions d’Effacement Physique

    La meilleure façon de garantir que vos données ne puissent pas être récupérées est de détruire physiquement le dispositif de stockage. Voici quelques méthodes recommandées :

    1. Utilisation d’une perceuse : Percez plusieurs trous dans le disque dur ou la clé USB pour compromettre les composants internes.
    2. Marteau : Écrasez le dispositif avec un marteau. Assurez-vous de frapper assez fort pour briser les circuits internes.
    3. Choix de votre méthode : Quelle que soit la méthode choisie, l’objectif est de rendre le dispositif inutilisable.

    Élimination Responsable

    Une fois que votre disque ou votre clé est brisé, il est essentiel de disposer de ces débris de manière appropriée. De nombreux endroits, tels que les points de dépôt « Serpuariens », acceptent les déchets électroniques et s’assurent qu’ils sont traités de manière sécurisée et écologique.

    Précautions Supplémentaires : Ne Pas Vendre Vos Dispositifs

    Il est fortement déconseillé de vendre vos disques durs ou clés USB sur des plateformes comme Marketplace ou Kijiji sans avoir au préalable effectué un processus d’effacement des données. Si vous envisagez de vendre un dispositif, utilisez un logiciel de cryptage pendant plusieurs jours avant de le transférer. Cela rendra la récupération des données presque impossible, même pour les plus déterminés.

    Conclusion

    La sécurité de vos données commence par une gestion responsable de vos dispositifs de stockage. En comprenant l’importance d’un effacement sécurisé et en prenant des mesures proactives pour détruire vos données, vous protégez non seulement vos informations personnelles, mais aussi votre tranquillité d’esprit. N’oubliez jamais : la sécurité de vos données dépend de vous !

  • Québécois avec AdSense : Ne Faites Pas Cette Erreur Fiscale !

    Si vous êtes un créateur de contenu québécois avec un blog ou une chaîne YouTube, et que vous percevez vos revenus via une corporation, vous devez absolument lire ceci. Remplir le bon formulaire fiscal pour Google AdSense peut sembler compliqué, mais c’est une étape cruciale pour éviter une retenue de 30 % sur vos revenus. Savez-vous qu’il y a une différence entre le NEQ et le NE ? L’une vous protège, l’autre… non ! Lisez la suite pour comprendre comment éviter les pièges fiscaux et maximiser vos gains.

    Si vous êtes un blogueur ou un YouTuber québécois qui génère des revenus pour une corporation (et non à votre nom personnel) via Google AdSense, vous devez remplir un formulaire fiscal spécifique pour déclarer ces revenus aux États-Unis. Que vous soyez une entreprise incorporée uniquement au Québec ou à l’échelle canadienne, il est essentiel de connaître la différence entre le NEQ et le NE, et pourquoi votre corporation a besoin d’un NE pour être admissible à Google AdSense.

    Le piège du NEQ

    Au Québec, lorsque vous incorporez une entreprise, vous recevez un Numéro d’Entreprise du Québec (NEQ). Ce numéro est unique à votre entreprise dans la province de Québec, et il est indispensable pour toutes les démarches légales locales. Cependant, il y a un hic : le NEQne suffit pas pour interagir avec des entités fiscales internationales, comme l’IRS aux États-Unis.

    Lorsque vous percevez des revenus via Google AdSense, vous ne traitez pas uniquement avec des entreprises canadiennes, mais également avec Google, une entreprise américaine. Et c’est là que le NE entre en jeu.

    Pourquoi le NE est essentiel

    Le Numéro d’Entreprise (NE), délivré par l’Agence du Revenu du Canada (ARC), est reconnu à l’échelle nationale et internationale. Si votre entreprise québécoise est incorporée, elle doit absolument avoir un NE pour remplir les formalités fiscales internationales et percevoir des revenus publicitaires via Google AdSense.

    Cela signifie que si votre entreprise est incorporée uniquement au Québec avec un NEQ, vous n’êtes pas en conformité avec les exigences fiscales pour Google AdSense. Vous devez obtenir un NE auprès de l’ARC, sinon, vos revenus pourraient être soumis à une retenue à la source de 30 %.

    Remplir le formulaire fiscal W-8BEN-E

    En tant que créateur de contenu basé au Canada, vous devez remplir le formulaire fiscal W-8BEN-E pour bénéficier des avantages de la convention fiscale entre le Canada et les États-Unis, qui réduit ou élimine la retenue à la source sur vos revenus AdSense. Voici les étapes clés :

    1. Sélectionnez le bon type d’entité : En tant que corporation canadienne, choisissez l’option « Corporation » ou « Société par actions ».
    2. Entrez votre NE, pas votre NEQ : Pour prétendre aux avantages fiscaux, vous devez entrer votre NE, pas votre NEQ. Google AdSense ne reconnaît pas le NEQ comme valide pour des transactions fiscales internationales.
    3. Profitez de la convention fiscale : En fournissant votre NE, vous pourrez bénéficier d’un taux de retenue réduit (généralement 0 %) sur vos revenus AdSense grâce à la convention fiscale Canada-États-Unis.

    Conclusion :

    Si vous êtes un créateur de contenu québécois, il est crucial de comprendre que votre entreprise doit être reconnue à l’échelle nationale et avoir un Numéro d’Entreprise (NE) délivré par l’ARC pour percevoir des revenus AdSense sans subir de lourdes retenues fiscales. Le NEQ, spécifique au Québec, ne suffit pas. Prenez le temps de bien remplir le formulaire W-8BEN-E avec votre NE et assurez-vous de profiter des avantages fiscaux offerts par la convention entre le Canada et les États-Unis. Cela vous évitera bien des tracas et optimisera vos gains sur votre blog ou votre chaîne YouTube.

    Alors, êtes-vous prêt à maximiser vos revenus AdSense en respectant toutes les règles fiscales ? Ne laissez pas 30 % de vos profits s’envoler à cause d’une simple méprise administrative ! 

  • Comment j’ai transformé des tuyaux de piscine en vélo tandem

    Imaginez-vous en plein été, sur un camping tranquille, avec du temps libre à ne plus savoir quoi en faire. Que feriez-vous ? Pour moi, la réponse était claire : fabriquer un vélo tandem… en PVC ! Oui, vous avez bien lu. C’est l’histoire improbable d’une création DIY réalisée à partir de tuyaux de piscine et de vieux vélos BMX. Et laissez-moi vous dire : c’était une aventure aussi fun que chaotique.

    Aout 2014

    Le Projet de Folie : Créer un Vélo Tandem en PVC

    Tout a commencé pendant une saison où j’étais saisonnier en camping. Je disposais de beaucoup de temps libre et j’ai eu cette idée un peu folle : « Pourquoi ne pas construire un vélo à partir de tuyaux de piscine ? » Une idée simple, mais qui allait se transformer en un véritable casse-tête logistique. Pour ceux qui se demandent si c’est faisable, la réponse est oui, mais avec quelques embûches sur le chemin.

    D’abord, j’ai récupéré deux vieux BMX pour leurs roues, pédaliers et autres composants. Ensuite, je me suis mis en quête des matériaux principaux : des tuyaux de PVC. Facile, me direz-vous ? Pas vraiment. Ce qui semble être une tâche simple (trouver des coudes, des T, des Y et des tuyaux) s’est avéré beaucoup plus compliqué qu’anticipé. Les quincailleries n’ont généralement pas beaucoup de ces pièces en stock, et j’ai dû faire le tour de plusieurs magasins pour tout rassembler.

    Astuces de Pro : Planifiez Tout Avant de Commencer

    Si vous vous lancez dans un projet comme celui-ci, mon premier conseil serait de bien planifier à l’avance. Prenez le temps de dessiner un plan détaillé et de calculer précisément ce dont vous aurez besoin. Sérieusement, rien n’est plus frustrant que de réaliser, en plein milieu du montage, qu’il vous manque une pièce essentielle. Commandez tout en ligne si possible, cela vous évitera de perdre des semaines à courir les magasins.

    Côté fabrication, la construction en elle-même n’est pas compliquée. Avec les bons raccords, de la colle PVC, et un peu de patience, le cadre commence rapidement à prendre forme. Assurez-vous toutefois de bien prévoir la longueur nécessaire derrière le banc pour éviter que le vélo bascule à la moindre accélération.

    L’Importance des Détails : Un Volant de Golf Car pour la Direction !

    L’un des moments les plus fun du projet a été de trouver des solutions créatives aux problèmes inattendus. Par exemple, pour la direction, j’ai utilisé un volant d’un vieux golf car ! Oui, c’est un peu excentrique, mais c’est ce qui fait le charme d’un tel projet DIY.

    Pour le confort, j’ai fabriqué un banc en utilisant du foam et de la cuirette. Rien de tel pour s’assurer que mes passagers soient bien installés pendant nos balades. Enfin, côté freins, ne les négligez pas ! Même si le vélo est en PVC, il reste primordial de s’assurer que vous pouvez vous arrêter en toute sécurité.

    Un Vélo qui Fait Parler de Lui

    La meilleure partie de ce projet, sans doute, ce sont les réactions des gens. Chaque fois que nous sortions le vélo tandem, nous attirions les regards et les questions. « Où avez-vous acheté ce vélo ? », nous demandait-on souvent. La réponse amusait toujours : « C’est moi qui l’ai fait, à partir de tuyaux de piscine ! ».

    Et bien que ce vélo n’ait jamais été une solution économique (la construction m’a finalement coûté plus que prévu), il a offert des heures de plaisir et des souvenirs inoubliables avec mes enfants. Il faut toutefois être réaliste : à la fin, il a fallu que je m’en débarrasse, et j’ai dû le donner. Personne ne semblait prêt à acheter un vélo en PVC, même si l’idée était originale.

    Mon Conseil Final : Suivez un Plan Préétabli et Profitez du Voyage

    Si vous aussi, vous vous sentez l’âme d’un bricoleur et que vous souhaitez vous lancer dans un projet similaire, voici mes recommandations :

    1. Faites un plan détaillé : Calculez tout ce dont vous aurez besoin, notamment en termes de raccords. C’est souvent là où vous rencontrerez le plus de difficultés.
    2. Commandez vos matériaux en ligne : Cela vous évitera de courir partout à la dernière minute.
    3. Personnalisez votre vélo : La peinture, le banc en cuirette, et même un volant de golf car, tout est bon pour rendre votre création unique !
    4. Soyez prêt à répondre aux questions : Ce genre de vélo DIY attire l’attention et la curiosité.

    Au final, même si ce projet n’était pas très économique, il m’a permis de passer du temps de qualité avec ma famille, tout en m’amusant à créer quelque chose de complètement inédit. Qui sait, peut-être que ce vélo finira par inspirer quelqu’un d’autre à créer un véhicule DIY encore plus original ?

    Lien pour obtenir des pièces PVC : https://amzn.to/3zFYHRH

    En Bref

    Fabriquer un vélo tandem en PVC est une aventure unique en son genre. Ce n’est pas forcément la solution la plus pratique ou la plus rentable, mais cela en vaut la peine pour les fous rires et les souvenirs que cela crée. Alors, si vous avez du temps libre et que vous cherchez un projet créatif, pourquoi ne pas tenter l’expérience ?

    Lancez-vous et, comme pour moi, ce sera peut-être l’une des créations les plus étranges, mais les plus satisfaisantes de votre vie. Bon succès !

  • Comment j’ai fabriqué un four solaire à partir de rien

    Vous vous êtes déjà demandé s’il était possible de cuisiner avec rien d’autre que le soleil ? Moi oui, et en 2008, j’ai décidé de tester cette idée en construisant mon propre four solaire. Ce projet, qui a commencé comme une simple curiosité, m’a permis de découvrir une manière totalement écologique de cuisiner. Pas besoin d’électricité, juste du soleil, un peu d’ingéniosité et du matériel de récupération. Si vous avez déjà envisagé de cuisiner autrement, laissez-moi vous raconter cette expérience fascinante. Nous étions en juillet 2006.

    L’idée derrière le projet : Cuisson lente, mais solaire !

    Tout a commencé avec une question simple : « Est-ce possible de mijoter un repas en utilisant uniquement l’énergie solaire ? » À l’époque, les fours solaires n’étaient pas très répandus, et je voulais pousser l’expérience plus loin. L’idée était de construire un système capable d’atteindre des températures suffisantes pour cuire lentement des plats, tout en restant accessible à n’importe quel bricoleur amateur.

    La première étape ? La fabrication d’une vitre thermos. Et là, petit hic. Si des vitres thermos existent déjà sur le marché, beaucoup sont fabriquées avec des matériaux toxiques comme le goudron, ce qui n’est pas idéal pour la cuisson. J’ai donc décidé de fabriquer moi-même ma propre vitre thermos en isolant deux couches de verre avec du bois. Simple mais efficace. Ensuite, j’ai construit la boîte du four en bois, que j’ai isolée avec du liège et une couche d’aluminium pour maximiser la réflexion de la chaleur.

    Comment j’ai transformé le soleil en four : Les détails de la construction

    La construction du four solaire n’était pas particulièrement compliquée, mais il fallait être précis sur certains détails. Le cœur de la réussite repose sur une vitre thermos faite maison, et croyez-moi, c’était une étape cruciale pour capter et conserver la chaleur. L’aluminium réfléchissait les rayons solaires vers le chaudron à l’intérieur, tandis que le bois et le liège servaient d’isolant pour maintenir la température.


    J’ai testé plusieurs températures et, à ma grande surprise, j’ai réussi à atteindre jusqu’à 230°C, suffisamment pour cuire du poulet, du saumon, et bien d’autres plats. Ce qui est encore plus fascinant, c’est que la couleur du récipient influençait directement la température : avec une cocotte noire, la température grimpait encore plus rapidement. J’ai donc utilisé un récipient en céramique noire provenant d’une vieille mijoteuse. Ce qui était génial, c’est qu’en cas de perte de soleil, la mijoteuse faisait office de plan B.

    L’expérience en action : Cuisiner avec le soleil

    Tester le four solaire a été une aventure passionnante. Un thermomètre sans fil m’a permis de surveiller les températures internes, et dès que je voyais une baisse, je savais que le soleil avait bougé. Eh oui, il faut suivre le mouvement du soleil, de l’est à l’ouest, pour s’assurer que le four reste bien orienté. J’avais même installé le four sur une plaque tournante pour pouvoir ajuster facilement sa position tout au long de la journée.

    Et pour être honnête, je trouvais ça super cool ! Ma blonde, elle, trouvait ça « bien poche », mais bon, chacun son truc, non ? Ce projet m’a appris plein de choses sur la gestion de l’énergie solaire, et j’étais ravi de savoir que je pouvais me débrouiller avec très peu en cas de panne électrique ou autres imprévus.

    Les résultats : Mijoter au soleil, une réussite surprenante

    L’un des premiers tests que j’ai réalisés avec ce four solaire était du poulet. Rien de tel qu’un bon repas mijoté lentement, en sachant qu’il a été cuit uniquement grâce à la puissance du soleil. Le poulet sortait tendre, juteux, et cuit à la perfection. Le four a également bien fonctionné pour le saumon, dont la cuisson lente a sublimé la texture.

    Ce qui est vraiment surprenant, c’est à quel point il est facile de suivre le soleil et d’ajuster la position du four. Une simple rotation sur la plaque tournante, et le tour est joué. En gros, avec ce système, tant qu’il y a du soleil, vous pouvez cuisiner sans une goutte d’électricité.

    Ce que j’ai appris : Cuisiner de façon écolo et autonome

    Même si ce projet a été un peu laborieux à mettre en place, il m’a montré à quel point il est possible de s’adapter et de créer des solutions ingénieuses pour être plus autonome. À l’époque, ce four solaire était pour moi une véritable innovation personnelle. Aujourd’hui, avec les avancées technologiques, il est possible d’acheter des fours solaires déjà prêts, mais où serait le fun si tout était déjà fait ?

    La satisfaction de cuisiner grâce au soleil, de ne dépendre d’aucune énergie autre que celle de la nature, est quelque chose d’assez incroyable. Et c’est une compétence que je suis content d’avoir dans mes cordes. En cas de panne d’électricité ou dans une situation où les ressources sont limitées, savoir que je peux toujours cuisiner est rassurant.

    Conclusion : Pourquoi ne pas tenter l’aventure du four solaire vous aussi ?

    Au final, la fabrication de mon four solaire m’a offert bien plus qu’un simple appareil de cuisson. C’était une leçon sur la curiosité, la persévérance et l’ingéniosité. Et puis, qui n’a jamais rêvé de cuisiner en pleine nature, sans autre source d’énergie que celle du soleil ? Imaginez-vous sur les routes avec votre van aménagé, à profiter de la beauté des paysages tout en mijotant lentement un repas grâce à votre four solaire fait maison.

    Ce projet est une excellente façon de se familiariser avec les énergies renouvelables et de découvrir que cuisiner sans électricité est non seulement possible, mais aussi incroyablement gratifiant. Alors, pourquoi ne pas essayer vous aussi de fabriquer votre propre four solaire ? Vous verrez, avec un peu de bricolage et beaucoup de soleil, vous ne verrez plus jamais la cuisine de la même manière.

    N’oubliez pas, comme pour tout projet DIY, c’est en essayant qu’on apprend le plus. Alors, lancez-vous et laissez le soleil faire le reste ! Bon succès dans vos aventures culinaires solaires !

  • J’ai fabriqué un échangeur d’air pour seulement 50 $ et quelques retailles

    En 2008, ma femme était enceinte de notre premier enfant et, comme tout bon futur parent, je cherchais des moyens d’améliorer le confort de notre première maison. J’avais déjà fabriqué des panneaux solaires pour chauffer notre piscine, ce qui m’avait laissé beaucoup de retailles de coroplast noir. Ne sachant pas quoi en faire, je me suis mis à chercher sur internet des idées pour économiser l’énergie et améliorer notre qualité de vie.

    C’est là que je suis tombé sur une solution ingénieuse : un échangeur d’air. Inspiré des modèles de la marque québécoise Venmar, qui utilisent du coroplast en couches croisées, je me suis lancé dans la fabrication de mon propre système.

    Un échangeur d’air maison pas cher et efficace
    Avec seulement 50 $ en poche et quelques matériaux déjà sous la main, j’ai conçu un échangeur d’air passif en coroplast. Le principe était simple : l’air vicié qui sort de la maison réchauffe l’air frais qui entre, sans qu’ils se mélangent, grâce aux couches de coroplast placées en X. J’ai même ajouté un timer pour que le système fonctionne 30 minutes toutes les trois heures, ce qui optimisait son efficacité.

    Les défis de l’hiver québécois



    Mon échangeur d’air fonctionnait super bien, sauf en hiver. Le coroplast accumulait de l’humidité à cause des différences de température. J’ai dû bricoler un entonnoir pour évacuer l’eau et la diriger vers les égouts à l’aide d’un petit tuyau. Malgré ce petit hic, le système faisait le travail, et on a utilisé cet échangeur d’air maison pendant plusieurs années.

    Un investissement minimal pour des résultats impressionnants

    Pour environ 50 $, j’ai acheté des filtres, du tape en aluminium et des coudes flexibles. Même après avoir installé un vrai modèle Venmar plusieurs années plus tard, j’ai remarqué que mon système DIY n’était pas moins efficace. C’est seulement une question de durabilité et de sécurité.

    Conclusion : le DIY a souvent de quoi surprendre

    Si tu cherches à économiser sur des projets de maison, construire soi-même peut vraiment valoir le coup. Mon échangeur d’air maison m’a permis de réduire les coûts tout en améliorant le confort de ma famille. Parfois, les solutions maison sont tout aussi efficaces que les produits du commerce.

  • Comment j’ai partagé mon Wi-Fi à 1 km avec une canette de Pringles et zéro budget

    Photo fictive, j’ai perdu l’original
    As-tu déjà eu un de ces moments où tu te dis : « Je vais tout faire moi-même » ? Moi, c’est en 2000 que ça m’a frappé. À l’époque, j’ai réussi à partager ma connexion internet avec un ami qui vivait à un kilomètre, tout ça grâce à une canette de Pringles et un peu de débrouillardise. T’es curieux de savoir comment ? Accroche-toi, je t’embarque dans cette aventure digne d’un film de hackers des années 90 !

    En 2000, je vivais en appartement avec ma copine qui étudiait au cégep et travaillait les soirs et fins de semaine. Autant te dire qu’on ne roulait pas sur l’or. Moi, je travaillais en service à la clientèle pour un logiciel dans le domaine de la santé, mais ça ne payait pas tant que ça non plus. Comme beaucoup de jeunes couples, on faisait attention à nos dépenses. C’est là que l’idée m’est venue : pourquoi ne pas partager ma connexion internet avec mon ami, qui habitait de l’autre côté du chemin de fer, à un bon kilomètre de chez nous ?

    Le truc, c’est qu’à l’époque, il n’y avait pas vraiment d’équipement abordable pour étendre une connexion Wi-Fi sur une telle distance. Les points d’accès longue portée étaient hors de prix. Mais j’étais déterminé à trouver une solution maison, et c’est là qu’intervient la fameuse canette de Pringles.

    L’ingéniosité d’un geek en action

    J’ai bricolé une antenne avec une simple canette de Pringles, un câble coaxial, et un vieux routeur. Tu te demandes peut-être pourquoi une canette de Pringles ? En fait, sa forme tubulaire permet de concentrer les ondes Wi-Fi, un peu comme un réflecteur parabolique. C’était loin d’être une antenne professionnelle, mais pour l’époque, c’était une vraie trouvaille de geek !

    Pour protéger mon installation des intempéries (la pluie n’est jamais loin au Québec), j’ai mis tout ça dans une boîte à sandwich Lock n Lock. Mon ami, de son côté, a retiré le LNB d’une vieille antenne satellite et l’a remplacé par son antenne Wi-Fi. On a tous les deux utilisé la bande des 2.4 GHz, et chacun de nous avait un quart de longueur d’onde.

    Aligner les antennes : mission impossible… ou presque !

    Aligner nos antennes n’a pas été une mince affaire. On voyait des maisons partout, et on ne savait jamais si nos antennes étaient bien orientées. J’ai sorti Google Maps, tracé une ligne entre nos deux adresses et calculé l’angle pour orienter mon antenne. Avec un rapporteur d’angle et un peu de patience, on a ajusté nos antennes jusqu’à ce qu’on capte un signal. Après quelques pings, l’internet coulait enfin chez mon ami. Hourra !

    Une connexion stable et un IP fonctionnel

    Une fois la connexion stabilisée, on a opté pour le canal 11 et on a caché notre réseau Wi-Fi pour éviter que les voisins ne s’y connectent. À l’époque, la sécurité Wi-Fi était encore loin d’être ce qu’elle est aujourd’hui. On utilisait le WEP, une clé de chiffrement déjà vulnérable même à l’époque, mais pour nous, c’était suffisant.

    La connexion atteignait entre 1 et 3 Mbps, ce qui, pour l’époque, était largement suffisant pour surfer sur le web et utiliser mon téléphone IP. Imagine, en 2000, c’était comme avoir la fibre chez soi aujourd’hui. On a utilisé ce système quelques mois avant que je déménage trop loin pour continuer l’expérience.

    Alors, la prochaine fois que tu termines une canette de Pringles, ne la jette pas tout de suite. Qui sait ? Elle pourrait devenir la pièce maîtresse de ton prochain projet DIY. La technologie n’est pas réservée aux experts. Parfois, il suffit de regarder autour de soi, de faire preuve de créativité et d’avoir un brin de folie. Allez, qui sait jusqu’où cette canette te mènera